Les tetes rousses roman de Claude Lamarche edtions Vents d'ouest
Les tetes rousses roman de Claude Lamarche edtions Vents d'ouest
Les tetes rousses roman de Claude Lamarche edtions Vents d'ouest
Les tetes rousses roman de Claude Lamarche edtions Vents d'ouest
Les tetes rousses roman de Claude Lamarche edtions Vents d'ouest, Bushell, Lynch, Deguire
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Ce qu'on en dit

ce qu'on en dit

« Vous aimerez ce genre de littérature du vécu. »

  

«  Ce roman est une évocation réussie des aventures d'une famille irlandaise ayant quitté leur village natal pour venir s'établir à Montréal. Dans l'ensemble, les personnages sont bien saisis et les situations justement perçues. La sensibilité de l'auteure y est manifeste, certaines images attendrissent, d'autres réjouissent. J'ose espérer que cette œuvre pourra apporter de belles heures de détente et d'évasion à de nombreux-nombreux lecteurs. »

Jacques Michaud, directeur littéraire, éditions vents d'Ouest

Article paru dans le journal Le Droit du samedi 15 octobre. La journaliste Jessy Laflamme a interviewé l'auteure et souligne la sortie du roman en librairie.


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article paru dans l'hebdomadaire La Petite-Nation,

le mercredi 19 octobre, page 22


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(Source photo: Michèle Marchand, journaliste de La Petite-Nation)

Planète généalogie présente le roman  à ses membres >>>

Les têtes rousses

  

Andrée Poulin (qui tient également un blogue) a parlé du roman sur les ondes de Radio-Canada, émission Divines tentations,90,7,  le samedi 29 octobre.>>>


« Une lecture agréable. Claude Lamarche est très très bonne pour montrer la difficulté matérielle, émotive et psychologique des immigrants irlandais arrivés au pays pendant la grande famine de 1847-1850. »

« Je pense que Claude Lamarche est une grande écrivaine : tous les personnages ont une personnalité. Elle réussit à penser en jeune femme, en mère, en fils, en enfant, en homme, tout ce qu’ils pensent est vrai et propre à chacun.


Les sentiments, les émotions, les petits gestes du quotidien : magistral.


Les dialogues sont justes, le lecteur les entend parler. Le ton est adapté à l’époque, le langage aussi, sans lourdeur.


Les détails des lieux, extérieur et intérieur, les couleurs, les textures, les sons, les odeurs, l’auteure a pensé à tout.


Mais ce qui importe le plus sans doute, ce qui fait qu’on a envie de continuer, c’est qu’on s’attache à ces personnages, ils ont corps et âme, on aimerait les rencontrer.  »


Une lectrice conquise


  

«   Je viens de terminer Les têtes rousses. Wouaw! Quelle histoire. Rondement menée. On apprend sur l'histoire des Irlandais, mais aussi sur nous. La vie n'était guère facile à cette époque. Il y a un passage à peu près insupportable; c'est le passage de la mort de Sam. Denis le cherche et se sent coupable. Je la sentais cette culpabilité.   » 

Michèle Bourgon, auteure de Fatum, blogueuse

et professeur au Cégep de l'Outaouais

« L'auteure du roman Les têtes rousses a une façon d'écrire qui est touchante, imaginative et riche. Je suis bien contente de connaitre l'aventure (assez triste) de ses ascendants.

 Il vaut son pesant d'or. »

Lucille Bisson, blogueuse

« Dès les premières pages, j'ai su que j'aimerais ce roman. Claude Lamarche écrit bien. Elle aligne ses mots selon mon goût.

On se laisse rapidement  envahir par le personnage de Bridget.

Claude Lamarche mène bien la narration et sait capter notre attention jusqu'au bout. »

Ginette, blogueuse

« D'abord une belle écriture, précise et fine.

 J’ai bien senti, au fil de ma lecture, combien tu l’avais portée en toi, cette histoire. Comme une mère aimante et attentive. Comme si tu l’avais tissée à l’aide des fils les plus rares, ceux gainés de tendresse et de détermination. » 

L'auteure du roman Impasse

et blogueuse Sylvie Gaydos

Suzan, blogeuse et responsable d'un café-causerie

« Ce qui se dégage principalement de ce roman, c’est la fierté de ses personnages principalement de Bridget d’être ce qu’ils sont et l’auteure,  sous le regard de son héroïne, a su fort bien nous décrire les premiers pas de ces ancêtres irlandais.  Bien écrite sous une plume qui sait faire, l’histoire s’enchaîne et se suit aisément. De plus, les paysages tiennent une place essentielle dans ce roman, ce qui ajoute à la beauté du récit. »

Jules se livre,un blogue, aux nombreuses ramifications, consacré uniquement à la lecture.

« J'aime les histoires d'exilés.  (...) c'est surtout les relations familiales qui me touchent beaucoup dans ce genre de livre.  Comment ils réussissent à quitter leur pays et s'adapter à un autre.  Comment ils arrivent à s'enraciner sur une nouvelle terre (parce qu'ils n'ont pas le choix me direz-vous!) et comment au fond du coeur, il reste toujours une certaine rancoeur envers le contexte dans lequel ils ont quitté leurs terres. L'entraide et le respect des valeurs et de leur culture pour ne pas tout perdre...  Les mariages entre Irlandais en terre canadienne ou encore le mixage des cultures, etc.  Ce sont de beaux moments.


Les têtes rousses, c'est tout cela.  Pas une minute d'ennui. »

« J'ai apprécié la manière dont l'auteure évoque la misère des Irlandais, la description des paysages, l'oppression des Anglais et des métayers. La traversée de l'océan est très prenante aussi. L'auteure a bien su entretenir l'intérêt du lecteur et l'intensité dramatique. »

N.P., professeur d'histoire dans un lycée de Suisse

« Il n’est jamais facile de raconter une vie, de l’enfance à la mort, surtout quand on désire toucher à d’innombrables personnages, ancêtres, enfants, petits-enfants, ce qui transforme l’histoire en saga. Malgré ce que j’appelle quelques maladresses, j’ai pris du plaisir à ma lecture qui a apporté à mon attention un pan d’histoire méconnu, l’émigration irlandaise au Québec. N’est pas étranger à mon plaisir non plus, une narration sur un ton posé, pour ainsi dire détaché, qui sait éclairer à grands traits inspirés le décor humain et la nature urbaine. »

Venise Landry du blogue dédié aux romans québécois:

Le passe-mot

« J'ai visité la Grosse-Ile il y a plusieurs années et je dois dire que j'en ai conservé un intérêt certain pour la tragédie des Irlandais. Cet intérêt s'est ravivé à la lecture des Têtes rousses, où j'ai pu en apprendre davantage sur la réalité que ces gens vivaient en Irlande, leurs souffrances, puis leur intégration dans cette Amérique qui n'a pas nécessairement tenu toutes ses promesses...
Et d'un pouce en l'air pour Claude. »

Isabelle Lauzon du blogue

La plume volage

« Je viens de le terminer. Fort bon. Bravo. »

Daniel Lessard, auteur de Maggie

son site>>>

De la blogueuse Prospéryne qui était aussi libraire à Saint-Hyacinthe et a donc publié dans la revue Le libraire de mai 2012, numéro 70, page 15

son blogue>>>

la revue Le Libraire>>>

Septembre 2012, Hélène Arsenault, blogueuse, a pris la peine de faire publier son avis dans le journal de TeluQ

le journal>>>
son blogue>>>

  

« Il m’est impossible de ne pas songer à la véracité probable de leurs destins tantôt heureux, tantôt tragiques en lisant que l’auteure, férue de généalogie, est un jour tombée sur un cahier écrit par une aïeule qui lui a fait découvrir l’histoire de ses ancêtres irlandais, et qui lui a servi d’inspiration pour ce livre. Claude Lamarche n’en est pas à ses premières armes en publication et sa belle plume s’efface tout discrètement pour laisser la place à la trame de fond, ce que j’ai particulièrement apprécié.  »